CineXavier2000 : Madres paralelas

		Réalisateur :		Pedro ALMODOVAR
		Acteurs :		Penélope Cruz, Milena Smit, Israel Elejalde, ...

		Genre :		Drame

		Durée :		2 h 00
		Date de sortie :		01/12/2021
		Titre original :		Madres paralelas

		Note "critique" :		2,50
		Classement 2021		74 / 93

Résumé :

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Deux femmes, Janis et Ana, se rencontrent dans une chambre d'hôpital sur le point d’accoucher. Elles sont toutes les deux célibataires et sont tombées enceintes par accident. Janis, d'âge mûr, n'a aucun regret et durant les heures qui précèdent l'accouchement, elle est folle de joie. Ana en revanche, est une adolescente effrayée, pleine de remords et traumatisée. Janis essaie de lui remonter le moral alors qu'elles marchent telles des somnambules dans le couloir de l'hôpital. Les quelques mots qu'elles échangent pendant ces heures vont créer un lien très étroit entre elles, que le hasard se chargera de compliquer d'une manière qui changera leur vie à toutes les deux.
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Xavier
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19/12/2021
Pedro Almadovar semble toujours avoir la cote auprès des critiques mais le nombre d'entrées de son dernier film montre que le public à un peu plus de mal à le suivre. Est-ce mérité ? Ce n'est pas ce "Madre paralelas" qui me permettra de dire le contraire tant le film, qui mèle la petite et la grande histoire, m'a semblé fade. Je concède que je ne suis pas un spécialiste de l'histoire espagnole et donc je suis surement passé à coté du pan "historique" du film mais la rencontre de ces deux femmes à la vie bien différente dans les couloirs de la maternité donne lieu à un lien qui m'a paru bien artificiel, les péripéties en découlant n'ayant rien de renversantes.

Difficile d'en dire plus sans dévoilé l'histoire, ce qui finira par arrivé bien trop raipdement quand vous verrez le film mais qui anéantirait toute envie de voir le long métrage si, comme moi, vos voyez venir gros comme un camion les divers rebondissements. Bref, Almadovar ronronne avec ce film et même ses actrices, qu'il à l'habitude de sublimer, paraissent en pilotage automatique pendant deux heures.

Non, vraiment, il est loin le temps de "Parle avec elle" et autre "Volver" et je commence à me dire que le réalisateur suit la pente descedante d'un Ridley Scott (tiens, on parle de "Le duel" et de "House off Gucci" vu lors de ce dernier trimestre) et autre Spielberg (vous avez dit "Bon gros géant" ?) qui ont emerveillés mes yeux et m'ont embarqué dans leurs histoires mais qui aujourd'hui ne produisent plus grand chose de notable. Dur.
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Première :
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L’aisance avec laquelle Almodóvar articule parcours individuels et destin collectif est celle d’un grand maître très sûr de ses effets. Pourtant, c’est aussi le côté imparfait du film qui séduit, une forme d’ardeur juvénile, un tremblement peut- être dû à son côté militant, et qui viennent embraser la surface post-hitchcockienne ultra-raffinée.
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